Tahiti, le 19 août 2020 - La deuxième édition du programme « Technicien développeur » du Conservatoire national des arts et métiers en Polynésie française va débuter lundi 24 août. Treize auditeurs vont suivre cette formation d’un an qui les préparera à travailler dans le domaine du numérique.
Après une première édition 2017-2018 du programme Bac+2 « Technicien Développeur » du Cnam (Conservatoire national des arts et métiers) ayant débouchée sur une insertion professionnelle de 100 %, l’établissement lance une saison 2 à cette formation très prometteuse.
Dès lundi, les treize nouveaux auditeurs, retenus sur plus de 137 candidats, débuteront ce programme qui doit leur permettre d’acquérir des compétences pour s’insérer ou se reconvertir dans le numérique.
Pendant un an, les stagiaires vont pouvoir suivre 1 370 heures de formation et passer trois mois minimum de stage orienté vers l’apprentissage des rudiments du développement de sites et d’applications Web. En sus des langages de programmation, le cursus de formation est complété par des modules d’anglais, d’expression écrite et orale, d’infographie, de gestion de projet, de réseau système et bien d’autres encore.
Cette formation met en avant une pédagogie pratico-pratique : un mode d’apprentissage par projet autonome, collaboratif et l’enseignement par la résolution de problèmes. Ces méthodes appliquées par les formateurs permettent aux auditeurs d’acquérir rapidement de nouvelles compétences et d’être acteurs de leurs apprentissages. Ce programme est co-financée par le Pays au travers du ministère de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports, de l’État par la labellisation « Grande École du Numérique » et par le Cnam en Polynésie française.
À l’issue de la formation, les auditeurs obtiendront leur diplôme de « Technicien développeur » de niveau 5, titre professionnel reconnu par l’État au niveau BTS/DUT. Ils auront alors acquis de solides compétences pour travailler au sein d’organisations et de structures informatiques (agence de développement Web, service E-communication, studio Web-graphisme, entreprise réseau et télécommunication, etc.). Ils pourront également poursuivre leurs études dans le secteur du numérique (3e année de licence informatique, prépa école d’ingénieur réseau télécommunication du Cnam…).
Après une première édition 2017-2018 du programme Bac+2 « Technicien Développeur » du Cnam (Conservatoire national des arts et métiers) ayant débouchée sur une insertion professionnelle de 100 %, l’établissement lance une saison 2 à cette formation très prometteuse.
Dès lundi, les treize nouveaux auditeurs, retenus sur plus de 137 candidats, débuteront ce programme qui doit leur permettre d’acquérir des compétences pour s’insérer ou se reconvertir dans le numérique.
Pendant un an, les stagiaires vont pouvoir suivre 1 370 heures de formation et passer trois mois minimum de stage orienté vers l’apprentissage des rudiments du développement de sites et d’applications Web. En sus des langages de programmation, le cursus de formation est complété par des modules d’anglais, d’expression écrite et orale, d’infographie, de gestion de projet, de réseau système et bien d’autres encore.
Cette formation met en avant une pédagogie pratico-pratique : un mode d’apprentissage par projet autonome, collaboratif et l’enseignement par la résolution de problèmes. Ces méthodes appliquées par les formateurs permettent aux auditeurs d’acquérir rapidement de nouvelles compétences et d’être acteurs de leurs apprentissages. Ce programme est co-financée par le Pays au travers du ministère de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports, de l’État par la labellisation « Grande École du Numérique » et par le Cnam en Polynésie française.
À l’issue de la formation, les auditeurs obtiendront leur diplôme de « Technicien développeur » de niveau 5, titre professionnel reconnu par l’État au niveau BTS/DUT. Ils auront alors acquis de solides compétences pour travailler au sein d’organisations et de structures informatiques (agence de développement Web, service E-communication, studio Web-graphisme, entreprise réseau et télécommunication, etc.). Ils pourront également poursuivre leurs études dans le secteur du numérique (3e année de licence informatique, prépa école d’ingénieur réseau télécommunication du Cnam…).